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agriculture
et
ecologie
projet
agriculture
2007
agriculture
et
santé publique
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Le respect de nos conditions de vie est souvent bafoué
face aux intérêts privés (farines animales, sang contaminé,amiante, ogm,
antennes relais, lignes a haute tension, fausses informations sur le lait,
le fluor, engrais et pesticides malheureusement les exemples qui mettent
en péril notre santé sont trop nombreux...).
Pourtant il semble évident que le respect de la nature,
et le souci de maintenir les citoyens en bonne santé doit être une priorité.
L'économie doit générer des profits soit... mais pas au
détriment de la santé publique !
L'économie doit generer des emplois c est sur... mais sans
risque sanitaire pour les travailleurs.
Améliorer la qualité de vie en intégrant une dimension
écologique dans le domaine de l entreprise est possible et générateur
d emplois.
Il est facile de fermer les yeux, en se disant que le nombre
de cancers sera multiplié par X dans 20 ans. Oui le combat est
difficile car souvent les maux ne sont pas visibles immédiatement.
Le développement économique autour de l environnement ne
laisse personne au bord de la route.
Notre rôle est non seulement de proposer des solutions
qui permettent d améliorer la croissance économique, mais aussi de sauvegarder
notre qualité de vie future.
La fin du pétrole annoncé (dans 50 ans, 30 ans ou peut
être 10 ans) est une préoccupation il faut rechercher des alternatives
à l énergie, et a tous les produits issus de l industrie pétrolière.
Il faut éviter la prolifération nucléaire en travaillant
sur la réduction poussée des consommation d énergies (ampoules et appareils
basses consommation, isolation des bâtiments, recours au solaire, géothermie
et éolien).
On nous fait croire qu il faut remettre les acquis sociaux
en balance, alors qu'en fait il faut surtout une autre façon de créer
de la richesse au bénéfice de tous.
Nous devons lutter contre les gaspillages de l'état et permettre
a chacun de trouver sa place dans une société qui doit avancer et innover
pour le bien être de tous.
Si vous adhérez a cela : donnez nous
les moyens de le réaliser votez pour nous
soutenez notre action par vos voix et
si vous le pouvez vos dons.
Election de Nicolas Sarkozy : un grand
bond en arrière...
Par Dominique Voynet,
Les électeurs ont fait leur choix ; je le respecte.
L’élection de Nicolas Sarkozy n’est pourtant pas une bonne nouvelle, pour
les jeunes des banlieues, assignés à résidence dans leurs quartiers, pour
les précaires, sommés de « travailler plus » et de façon générale pour
les plus modestes, pointés comme les "maillons faibles"d’une compétition
sans merci.
Ce n’est pas non plus une bonne nouvelle pour la planète. Le programme
de Nicolas Sarkozy, inspiré de la révolution néo-conservatrice à l’américaine,
ne se contente pas de faire l’impasse sur le défi écologique. Il nous
fait courir le risque de nouveaux retards, de nouveaux dégâts. Pétroliers
et marchands d’armes, firmes semencières et majors de l’eau, industries
pharmaceutiques et bétonneurs...Tous ont soutenu Nicolas Sarkozy ; tous
exigeront les dividendes de leur mise, le droit de déréguler, précariser
et polluer, sans entraves !
Nos enfants vivront au milieu du siècle les effets concrets de la crise
écologique : le changement climatique, l’épuisement des ressources, l’extinction
de bien des espèces vivantes, la fracture nord-sud... Nous ne pouvons
pas nous permettre de perdre cinq années, pour imaginer ce que seront
nos vies demain, pour inventer les solutions qui nous permettront de construire
une société plus fraternelle et plus responsable, pour sortir de la société
de tous les gaspillages. Et ce n’est pas en revenant à la France d’avant
68 que l’on pourra préparer l’avenir.
J’invite les écologistes à ne pas baisser les bras, à l’image des élus
Verts, qui se battent dans les villes et les régions, pour des choix qui
préparent l’avenir des générations futures.
Les 10 et 17 juin, j’appelle les citoyens à élire les députés Verts sans
lesquels l’Assemblée nationale continuera à faire les lois comme si demain
devait ressembler à hier.
Le temps viendra vite, où il appartiendra aux Verts comme à tous les démocrates
qui refusent la main-mise d’un seul parti sur la vie politique en France,
de tirer les conséquences de l’échec d’aujourd’hui, en termes d’organisation
comme en terme de projet.
Loin des clivages artificiels entre une gauche de gouvernement, prompte
à se renier quand elle accède au pouvoir, et une gauche radicale, qui
refuse soigneusement de se mettre en situation de l’exercer, il nous faudra
résister, avec le souci de protéger les plus modestes, qui seront les
premières victimes des mesures prises par le nouveau gouvernement ; il
nous faudra restaurer les fils du dialogue avec les citoyens, rompus de
longue date et jamais véritablement renoués ; il nous faudra renouveler
notre réflexion en profondeur.
Une seule certitude : Il n’y aura pas de raccourci : pour gagner demain,
la gauche - et les écologistes - devront savoir tirer les leçons de leur
échec.
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La religion est une forme primitive de la politique
puisqu'elle a permis un début de socialisation des individus à partir
d'une pensée et en imposant une façon de vivre. Et les religions monothéistes
ont institué la pensée unique et ont favorisé les courants totalitaires
sur lesquels se sont trop souvent appuyés les féodaux et les monarchies.
Heureusement qu'il y a eu le Siècle des Lumières qui a abouti à la Laïcité,
encore mal acceptée par certains prompts à en réduire la portée, voire
la remettre en cause. La vigilance reste un impératif incontournable.
Roland Léniar.
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